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L’Amour plus fort que l’orgueil

Un message de feu pour notre époque blessée

Dans un monde où tout va vite, où la souffrance fait peur et où l’on cache nos failles, le message de sœur Josefa Menéndez résonne comme un cri doux et brûlant. À travers ses dialogues intimes avec Jésus, elle nous rappelle que l’amour peut transformer la souffrance, que l’humilité sauve, et que même les âmes les plus éloignées peuvent revenir à Dieu. Son chemin, caché et silencieux, est une lumière pour notre époque. Car aujourd’hui encore, le Cœur de Jésus cherche des âmes qui aiment, qui offrent, qui réparent. J

C’est l’Amour qui m’a blessé

«  Regarde mes Plaies… Ce ne sont pas les âmes qui Me les ont faites, c’est l’Amour.  »
(Jésus à Josefa, 30 juin 1921)

Dans un monde qui ne comprend plus la souffrance, Jésus révèle à Josefa qu’il a souffert non par fatalité, mais par amour librement donné pour les âmes. Ses blessures sont des blessures d’Amour, ouvertes pour nous sauver.

Un père de famille qui est épuisé mais qui reste fidèle à sa famille malgré les épreuves ou une personne malade qui, dans sa chambre, offre chaque douleur à Jésus pour la paix d’un inconnu.
Ces hommes, ces femmes, ces enfants ne font pas de bruit. Ils ne cherchent pas à briller. Mais pourtant leurs cœurs portent des plaies d’amour. Et ces cœurs-là, blessés mais fidèles, ressemblent au Cœur de Jésus. Comme Josefa, ils vivent un mystère profond  : l’amour qui souffre peut sauver. Dans l’humilité, dans l’offrande, dans le silence… ils deviennent des flammes vivantes dans le monde.

Offrir sa souffrance pour une âme

«  Demande-Lui de faire peser sur toi ce que mérite ce pécheur. Ainsi la Justice divine l’épargnera.  »
(La Vierge à Josefa, 29 juin)

Josefa est appelée à porter le poids du péché d’un autre. Ce n’est pas une injustice  : c’est un acte d’amour héroïque, uni à la Croix du Christ. «  Ne Me refuse rien, Je suis ta Force.  »
(Jésus, 12 juillet)

Une étudiante qui offre sa solitude pour la conversion d’un ami. Elle pourrait se replier sur elle-même, se plaindre ou fuir. Mais dans le secret de sa prière, elle dit simplement à Dieu : « Seigneur, je t’offre ce vide… remplis-le de Ta grâce pour lui. » C’est discret, invisible, mais ce don devient une source de lumière pour une autre âme.

Un malade en chimiothérapie qui, au lieu de se révolter, unit sa douleur à celle de Jésus. À chaque perfusion, à chaque nausée, il murmure intérieurement : « Que cette souffrance devienne paix pour mon fils. » Il ne peut plus courir, servir, enseigner… mais il aime, il offre, et c’est un acte immense.

Ce n’est pas une piété triste. Ce n’est pas du dolorisme. C’est la mystique de l’amour offert, une vie unie à celle du Christ, qui agit en silence, mais qui sauve réellement.
Voilà ce que Josefa a vécu. Voilà ce que chacun peut vivre, dans l’ordinaire de sa vie, quand le cœur choisit d’aimer jusqu’au bout.

Le vrai combat est spirituel

«  Tu dois souffrir pour les âmes, tu dois être tentée, car entends-le bien : le diable redoute ta fidélité… mais courage !  »
(La Vierge, 22 juillet 1921 )

Josefa est attaquée par le démon parce qu’elle gêne son œuvre de perdition. Mais sa fidélité humble le repousse.

«  L’orgueil irrite le courroux de mon Père… Je cherche des âmes qui sachent s’humilier pour réparer cet orgueil.  »
(Jésus, 9 juillet 1921 )

Un jeune homme reste pur dans un monde hypersexualisé. Chaque jour, il lutte contre des tentations banalisées, refusant de voir son corps ou celui des autres comme un objet. Il combat, parfois seul, mais avec Dieu. Ce n’est pas de la faiblesse, c’est du courage spirituel, c’est une fidélité concrète au Cœur du Christ.

Une femme décide de rompre une relation toxique. Elle sait que ce choix lui coûtera l’attachement, la peur de la solitude, peut-être même des moqueries. Mais dans la prière, elle sent que ce lien l’éloigne de Dieu, de sa paix. Alors elle choisit de couper, de s’élever, de revenir à la lumière.
C’est un choix de fidélité. C’est un acte d’amour.

Josefa nous apprend que ces choix, faits dans l’ombre, sont immenses aux yeux de Dieu. Ils ne font pas de bruit. Ils ne sont pas applaudis. Mais ils touchent le Ciel.
« Tu dois souffrir pour les âmes, tu dois être tentée… Le diable redoute ta fidélité. »
(La Vierge à Josefa, 22 juillet)

Même le grand pécheur peut être sauvé

«  Ce pécheur qui M’a fait tant souffrir, Josefa, est maintenant dans mon Cœur !  »
(Jésus, 3 août)

C’est l’un des messages les plus puissants de Jésus. Josefa prie, souffre, s’humilie… et l’âme est sauvée. Il ne s’agit pas d’un miracle spectaculaire, mais d’une victoire d’amour dans le secret du Cœur de Dieu.

«  L’âme qui restait ici-bas pour achever de se purifier est maintenant au ciel ! Quant à ce pécheur, mon Cœur a remporté sur lui la victoire définitive.  »
(14 août)

Un détenu, brisé par les choix de sa vie, trouve un jour le courage de confesser ses fautes. Il pensait être irrécupérable, perdu à jamais. Mais dans la lumière tremblante d’un parloir ou au fond d’une cellule, il murmure :
« Seigneur, si tu existes encore pour moi… pardonne-moi. » Et Dieu répond. Pas par le tonnerre, mais par la paix douce d’un cœur relevé. C’est une résurrection silencieuse. Une vie abîmée devient terre promise.

Une mère de famille, après 20 ans d’éloignement, revient à la foi. Ce n’est pas un retour spectaculaire. C’est une bougie allumée devant une Vierge, un chapelet repris en tremblant. Elle ne comprend pas tout, mais elle sent que quelqu’un l’attendait. Elle pleure. Elle prie. Elle recommence. Et dans le Ciel, le Cœur de Jésus tressaille.

« Ce pécheur qui M’a fait tant souffrir, Josefa, est maintenant dans mon Cœur ! »
(Jésus, 3 août 1921)

Tout cela ne vient pas de hasard. Ce sont les fruits de cœurs cachés, comme celui de Josefa. Des âmes silencieuses qui offrent, qui prient, qui s’effacent. Des âmes qui ne verront peut-être jamais le fruit de leur offrande sur cette terre… mais dont le Ciel entier célèbre la fécondité.

Une voie pour nous : aimer en secret

«  Offre aujourd’hui tout ce que tu feras à cette intention. Je reviendrai bientôt.  »
(Jésus, 4 août)

Josefa ne fait pas de grandes œuvres extérieures. Elle offre, obéit, souffre, prie. Et cela suffit.

«  J’ai mes Desseins sur toi, et ce sont des Desseins d’Amour… Ne Me refuse rien.  »
(14 août)

Un employé maltraité qui reste intègre. On le méprise, on l’ignore, parfois on l’humilie. Il pourrait se venger, saboter, mentir. Mais il tient bon. Il offre ses journées, ses injustices, ses humiliations, pour garder son cœur droit devant Dieu. Il ne le dit à personne, mais chaque soir, il murmure :

« Seigneur, je Te l’offre… que ma patience devienne lumière. »
Et dans ce silence, il devient un témoin du Christ.

Une religieuse âgée, oubliée du monde, prie chaque jour dans l’ombre. Son corps est faible, ses gestes lents, mais son âme brûle. Chapelet après chapelet, elle confie les jeunes, les familles, les prêtres, les âmes perdues. Personne ne la voit, mais le Ciel l’écoute. Elle n’agit plus, elle intercède. Et par elle, Dieu agit encore.

Voilà les Josefa de 2025. Elles ne portent pas de stigmates. Ils n’ont pas de visions. Mais leur vie, offerte dans le silence, unis à Jésus dans l’humilité, tient le monde debout.

« Ne Me refuse rien… Je cherche des âmes qui sachent s’humilier pour réparer. »
(Jésus à Josefa, juillet 1921)

Prière finale (inspirée des paroles de Jésus à Josefa)
Seigneur Jésus, blessé d’Amour, je T’offre mon cœur.
Prends mes efforts, mes douleurs, mes luttes.
Je les unis aux Tiennes pour consoler Ton Cœur
et pour les âmes qui se perdent.
Ne me laisse pas Te refuser quoi que ce soit.
Je T’appartiens. Amen.

 
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